Charge supportée par la surface alaire au milligramme par centimètre carré de divers papillons :
Moro-sphinx : 86,6 mg
Sphinx ligustri : 125,0 mg
Pieris brassicae : piéride 6,5 mg
Vaessa cardui : 7,4 mg
Vanessa urticae : 13,0 mg
Vanessa atalanta : 14,7 mg
Arctia caja (femelle) : 55,3 - mâle : 46,0
Acherontia atropos : 64,5 mg
Macroglossa stellatarum : 86,6
Lasiocampa quercus : 67,0
Parnassius apollo : 12.0 mg
Myrtil - Maniola jurtina - sur roncier
et Bombus terrestris (hyménoptère) : 244.mg
D'après Portier, in "les papillons" de G.Mathot - 1948.
- Le Zygène variable.
- Le Sylvandre.
- Le Citron de Provence au bal masqué ! (N et B)
- Papilio machaon - 9 cm - sur centranthe rouge.
- Le Damier "Melitaea cinxia". Dessous et dessus.
- Argus bleu céleste. "Lysandra belargus"
- Azuré du thym "Maculinea arion"
- Vulcain.
- Le myrtil dans la prairie.
- L'argus brun "Aricia agestis"
- Le Myrtil. (2)
- La Mélitée orangée "Melitae dydima"
- Sphinx gazé fuciforme - "Hemaris fuciformis". 2 photos.
- Le Satyre "Lasiommata genera".
- "Papilio machaon" - 2
- Le sylvain azuré.
- Grands nacrés "Mesoaacidalia acaja"
- Le flambé (2)
- Piéride du chou.
- Le Satyre. Lasiommata megera
- Petit-mars-changeant, forme clytie
Le Sylvandre se pose souvent sur les troncs d'arbre qui imitent sa couleur pour bénéficier du mimétisme. (voir page spéciale)
Le Citron de Provence - Coliade de la bourdaine - au bal masqué sirote un nectar au buffet de la fleur.
Le Damier - dessus - sur menthe aquatique - Lubéron (04) - Argus bleu céleste "Lysandra belargus" - Azuré du serpolet ou du thym "Maculinea arion"
À propos de "Argus bleu céleste", du "bronzé ou cuivré", "azuré du thym" et autres : La majorité des Papilionoidea a développé des stratégies d'associations facultative ou obligatoire avec les fourmis, qui vont du parasitisme au mutualisme.
Les chenilles et les chrysalides utilisent des signaux chimiques et acoustiques pour manipuler les fourmis dans le sens de la myrmécophylie.
La présence d'une glande dorsale, située en général sur le 10ème segment exsudant un liquide sucré comparable au miellat des pucerons est un caractère largement partagé par les chenilles de lycénidés myrmécophiles et connu depuis 1894.
On parle alors de chenilles trophobiontes. Toutefois, certaines espèces ont mis au point des stratégies plus complexes pour inciter les fourmis à les adopter et à les transporter au sein de leurs fourmilières.
Le MYRTIL butinant dans la prairie sur trèfle incarnat (Trifolium repens) - 12.05 - Sur valériane rouge, ses ailes enfin ouvertes ! 06.06 -