La zygène de la petite coronille de mon jardin - (Zygaena fausta),
également appelée Zygène automnale, Zygène de la bruyère.
C'est un insecte pollinisateur.
Insolite : on arrive à le localiser en vol de relativement loin car dans l'air on voit un objet volant rouge se déplacer... identification !😄
zygène de la petite coronille - Zygaena fausta.
25.09.2023 à 13h sur sedum spectabile 'Septemberglut',
également appelé Orpin d'automne.
28.05.24 Sur feuilles de fenouil
14.09.2024 Zygaena fausta sur sedums spectabiles.
Il y en avait 6 en même temps, les seules fleurs épanouies du jardin !
17.09.24 à 14h - 24° : accouplement de zygène de la coronille.
Suivant mon observation en cours, l'accouplement a duré très longtemps, plus de deux heures.
Là, l'accouplement se déroule sur la plante hôte.
Il y avait de très nombreux Zygènes de la coronille qui voltigeaient un peu de partout au jardin.
Ils butinaient sur les sedums spectabiles et sur quelques fleurs de lavande survivantes.
Nota : Observation toujours en cours le mercredi 19.09.24
18.09.24 les oeufs sur une feuille de coronille,
la chrysalide ou cocon...
...et l'imago sur le même arbuste.
Imagos visibles depuis le 14 septembre.
J'ai noté un imago en mai sur un plant de fenouil.
Le Myrtil "Maniola jurtina" est un lépidoptère (papillon).
Ses ailes sont ornées d'ocelles (taches arrondies) qui ont un rôle contre la prédation. Voir l'article sur les mimétismes.
Sa chenille hiberne.
Ses plantes hôtes sont diverses graminées.
"Lycaena phlaeas" dit le Bronzé, Cuivré commun ou Argus bronzé est une espèce d'insectes lépidoptères (papillons).
Plantes-hôte de la chenille : rumex (ou oseilles sauvages), polygonum...
Il hiverne à l'état de jeune chenille entretenue par les fourmis et lorsqu'elle a terminé sa croissance elle se métamorphose sous une feuille après avoir quitté sans danger la fourmilière !
Variation imago importante dans les régions chaudes.
Je reconnais le Bronzé à son vol rapide et zigzaguant. Envergure 3 cm.
En français : le Cuivré commun, le Bronzé, l'Argus bronzé, ou (pour les populations nord-américaines) le Cuivré d'Amérique.
En anglais : Small Copper ou Common Copper ou American Copper.
En allemand : Kleiner Feuerfalter.
En néerlandais : Kleine vuurvlinder.
(Wikipedia)
Le dessus des ailes antérieures est cuivre, alors que les ailes postérieures sont marron bordées d'une large bande cuivre.
Le revers de l'aile antérieure est orange orné de points noirs cerclés de blanc et bordé de beige alors que le revers des ailes postérieures est beige à marron clair.
profil...
et arrière.
Sur fleurs de sedum spectabile.
29.09.2022 - 23°
De plus près.
juillet 23 - Bronzé avec fond des ailes jaunes sur lavande.
10.10.22 Le Bronzé... bronze au soleil d'octobre sur un souci. !
Juillet 23
Le 13 octobre T 23°, entre 11h et 13h j'ai observé le Bronzé (Cuivré), toujours le même, butinant sur les sedums et sur un seul souci épanoui à quelques mètres de là.
Pendant ces deux heures il n'a pas arrêté de passer du sedum au souci et du souci au sedum... d'ailleurs les seules fleurs au jardin.
13.10 : C'est le quinzième jour que je le vois...même endroit, même heure au midi.
14.10 : Le Bronzé n'est pas venu au rendez-vous.Disparu, parti peut-être sous d'autres cieux...au revoir !
Nota : le Bronzé colonise les lieux rendus à la nature ("sauvons les papillons")😉
Le Cuivré de la bistorte "Lycaena helle" est une espèce proche en voie de disparition.
In revue "science et vie" - nr. 1285 - octobre 2024
Affiche de la journée mondiale de la biodiversitéde du 22.05.2023
Piéride du Réséda ou Marbré-de-vert
(Pieridae Pierinae - Pontia daplidice L.)
La Piéride du réséda ou Marbré-de-vert est une espèce de lépidoptères (papillons) de la famille des Pieridae.
Elle tire son nom d'une des plantes nourricières de ses chenilles, le Réséda jaune.
Marbré de vert sur valérianes - 21.05
Ce papillon fréquente les lieux fleuris, et apprécie notamment les luzernes, les crucifères et le réséda sauvage.
Les plantes hôtes de la chenille sont le Réséda jaune (Reseda lutea) et d'autres brassicacées comme la roquette jaune (Diplotaxis tenuifolia), la fausse roquette de France (Erucastrum gallicum).
Les chenilles sont présentes de mai à octobre.
Le Marbré de vert sur valérianes.
Pieridae Pierinae. Pontia daplidice L.
Le Marbré-de-vert, la Piéride du Réséda.
Planche de J. Curtis (1823-1840)
entomologiste britannique.
L'argus bleu ou azuré de la bugrane ou Lycène bleu
"Polyommatus icarus"
Un exemple de dimorphisme sexuel.
Le "dimorphisme sexuel" est la différence d'apparence
entre le mâle et la femelle d'une même espèce.
La chenille se nourrit de luzerne, de trèfle,
du lotier corniculé, de la bugrane épineuse et divers fabiacées.
L'argus bleu mâle - sur sedum spectabile - août - Marignane (13)
Vues au microscope optique, les minuscules écailles qui recouvrent comme des tuiles d'un toit les ailes des papillons présentent des stries extrêmement fines.
Les admirables stries disposées sur les ailes de papillons ont des tailles de l'ordre du millième de millimètre - 60 fois moins que l'épaisseur d'un cheveu.
À cette diffraction peut d'ailleurs s'ajouter le phénomène d'interférence qui contribue aussi à faire varier la couleur selon l'angle sous lequel on regarde l'aile. Nicolas Witkowski in "papillonnages" - Seuil 2007
La femelle - Vue de dessus sur une pensée fanée - juillet - Marignane (13)
La femelle - Vue de dessous posée sur feuille de trèfle - juillet -
Marignane (13)
Le Sphinx gazé ou Sphinx du chèvrefeuille (Hemaris fuciformis)
est une espèce paléarctique de lépidoptères de la famille des Sphingidae.
Diurne, il vit dans les prairies fleuries, les clairières, le long des lisières et des chemins forestiers, les friches, les jardins ensoleillés.
À la manière d'un colibri, il butine les fleurs bleues et violettes
(bugles, sauges, knauties, buddléia)
Le gazé fuciforme - "Hemaris fuciformis"
posé un bref instant sur une feuille de buddleia -
Luberon (04) - juillet
Les plantes-hôtes de la chenille sont presque uniquement des chèvrefeuilles
(surtout Lonicera xylosteum et L. nigra)
L'aile en partie translucide, au contraire du "Moro-sphinx"
chez qui les ailes sont opaques.
est resté 69 jours dans mon jardin, son territoire investi.
Je l'ai vu la première fois le 24.03.2016
et il a disparu le 30.05.2016, dernière fois que je l'ai vu.
Tous les jours, entre 11h et 14h, au plus fort de la chaleur, il arrivait par-dessus le toit de ma maison, butinait un certain temps sur les lilas ou sur les centranthes rouges (valérianes rouges ou faux lilas) et repartait dans la même direction, en l'occurrence vers la haie dense de cyprès de mon voisin où il avait élu domicile pour se mettre à l'abri.
Pendant toute cette période il y a eu beau temps, ou fort Mistral (N-O) ou pluie et la température minimale prise à 4h du matin a été de 5° et la température maximale 19°.
Je le voyais souvent patrouiller entre les arbres et se poser au soleil ailes déployées.
Je ne sais pas si c'était un mâle ou une femelle et encore moins s'il a pu s'accoupler.
L'arrivée sur mes lilas 24.03.2016
Avec du pollen sur la tête après avoir visité brièvement mon tilleul en fleurs,
je l'ai même vu essayer de butiner mon chèvrefeuille,
plante plutôt fréquentée par les papillons "colibris" !
Le dernier jour 30.05.2016 de notre rencontre,
posé à quelques mètres sur mon cognassier
comme pour me dire adieu...
Bonne chance.
Encourageante observation de ce papillon dans le Tarn par Jean-Sébastien :
"Sur les bords du Tarn, en amont de Malène, en "descente en canoé", lors d'une pause en bord d'un banc de gravier, j'ai vu mon premier rassemblement de Flambés.
Je n'en ai jamais vu autant, environ une vingtaine les uns à côté des autres.
À un mètre environ, un rassemblement similaire de piérides.
(Causse Méjean (1000 m, un peu plus au sud) du 1er au 6 août 2016)
Un correspondant, entomologiste montagnard, m'expliquait que le bombyx du chêne passait son temps à courir les femelles et qu'il n'était pas rare de le voir franchir les cols à plus de 2500 m d'altitude.
Envergure : de 5 jusqu'à près de 8 cm chez la femelle.
Les mâles sont toujours plus foncés que les femelles.
Beaucoup de variations peuvent être dues aux conditions locales du milieu.
BOMBYX DU CHÊNE
BOMBYX DU CHÊNE ou Minime à bandes jaunes
(Lasiocampa quercus) mâle -
Ici photographié à Marignane dans mon jardin
posé sur une feuille de "choisya ternata" - 3-4 cm d'envergure
27.08.2016
CHENILLE BOMBYX DU CHÊNE
Chenille processionnaire du bombyx du chêne (Thaumetopoea processionea).
Elles éclosent en septembre et passent l'hiver en diapause.
Elles en sortent en mars et se nymphosent autour de mai-juin.
Bombyx du chêne
De la chenille au papillon
Planche vers 1885
CHENILLES PROCESSIONNAIRES DU PIN
Les chenilles processionnaires du pin (Thaumetopoea pityocampa).
Inscrite sur la liste rouge UICN il y a quelques décennies. Luberon (04) 2016.
Document intéressant sur les différentes chenilles urticantes,
en cliquant sur l'image
CHENILLE SPHINX DU LISERON
Chenille du SPHINX DU LISERON "Agrius convolvuli" 27.10
De couleur très variable, verte ou marron avec des stries latérales obliques blanchâtres et foncées, de grande taille (110 mm). Elle est munie d'une petite corne pointue qui peut être jaune avec l'apex noir ou entièrement noire.
SPHINX DES PALMIERS
Le sphinx des palmiers (Castniide). Paysandisia archon - bombycoïdes .
Larve très nocive dans le sud de la France.
Ici imago photographié à Saint-Victoret (13) 28.06.2014.
SPHINX DU PEUPLIER
Sphinx du peuplier (Laothoe pupuli) - Marignane (13)
Se cache dans les feuilles ou sur son arbre, ici surpris sur un mur.
L'envergure du Sphinx du peuplier va de 70 à 100 mm
SPHINX DU TILLEUL
(Mimas tiliae) Sphingidae
Plantes-hôte : Tilia (tilleul) Ulmus (orme), plus rarement sur d'autres feuillus.
On peut le rencontrer dans les parcs, les jardins, les zones urbanisées mais boisées etc, à l'aurore et au crépuscule posé sur un tronc.
Photographié ici par mes petits-enfants Gaelle et Baptiste, 13 ans.
Le sphinx du tilleul au repos.
Celui-ci a été photographié le 03.04.2020 à 10 h - 15° (4° à 5 h).
En voici un en avance sur son époque de vol !
CHENILLE SPHINX DU TILLEUL
Chenille du SPHINX DU TILLEUL
contre le tronc d'un tilleul au jardin - Marignane.
La chenille emploie l'homochromie évolutive, verte sur les feuilles nourricières et brune lorsqu'elle descend le long du tronc pour s'enterrer.
Chenille au sol et à son dernier stade, en partance pour se mettre en chrysalide en terre (juin).
Elle devient brune sur le sol en partant pour la nymphose pour moins attirer l'attention des prédateurs
SPHINX DU TILLEUL
L'accouplement des imagos contre un mur...
on voit bien la jonction des abdomens en tête-bêche.
ACIDALIE CONTIGUË ou Sterrhinae (Ideae contiguaria)
Acidalie contiguë ouSterrhinae - 05.10.2018
Nourriture de la chenille : bruyère et diverses plantes basses
CLÉDÉOBIE ÉTROITE (Synaphe punctalis)
Clédéobie étroite est une espèce de lépidoptère
de la famille des Pyralidae que l'on trouve en Europe.
Il a une envergure de 22 à 27 mm.
Il vole de juin à août selon les endroits et est attiré par la lumière.
Sa larve se nourrit sur les mousses.
LA VOISINE ou La Vieillie (Idaea seriata)
Idaea seriata - la vieillie, la voisine - plante-hôte : lierre - 13.04.23.
Famille des Geometridae
Sa chenille se nourrit, entre autres, de lierre.
PANCALIA LEUWENHOEKELLA
PANCALIA LEUWENHOEKELLA - 5 mm - mai
Envergure de 10 à 12 mm. Tête et thorax brun métallisé foncé.
Antennes généralement avec une bande subapicale blanche.
PYRALE POURPRÉE ou Pyrauste pourprée
Pyrale pourprée (PYRAUSTA PURPURALIS) sur souci - 5 mm
Famille des Carambidae
En compagnie d'un hyménoptère.
RHODOMETRA SACRARIA
Phalène sacrée
RHODOMETRA SACRARIA - Phalène sacrée -
Migratrice, se rencontre surtout dans le Midi.
Cycle larvaire complet et rapide quand il fait chaud.
Plantes nourricières de la larve : Polygonum, Anthemis, Patiences.
TEIGNE du FIGUIER(CHOREUTIS NEMORANA)
TEIGNE du FIGUIER ou enrouleuse du figuier sur pâquerette, 5 mm en mars
est une espèce de mite de la famille des Choreutidae
Plantes hôtes : Figuier commun (Ficus carica).
TORTRICIDÉ ou TORTRICIDAE(tribu Archipini)
TORTRICIDAE - genre Archips, Pandemis, etc- 5 mm - mai.
Regroupe des papillons de petite taille (en général moins d'un cm) dont les chenilles sont phytophages.
Leur nom vient du fait que nombre de leurs chenilles ont l'habitude d'enrouler ou de tordre, à l'aide de fils de soie, les feuilles des plantes dont elles se nourrissent.
Dessin de six espèces de Tineidae remarquables par Ernst Haeckel.
Certaines d'entre elles ne font plus partie de cette famille aujourd'hui. (Wikipedia)
Mimétisme homochromique et homotypique.
Perfection : même le pédoncule de la feuille est représenté !
On nomme cela de l'hypertélie, ou quand la nature en fait trop !
Les ailes antérieures sont placées en toit au-dessus des postérieures qui, elles, restent étalées horizontalement.
Habitat : principalement forêts de chênes.
Plantes-hôtes : arbres fruitiers.
«L’homochromie et l’ homotypie contribuent à protéger certaines espèces. Pourtant cette protection est loin d’être totale et reste en particulier sans effet vis-à-vis des prédateurs qui se guident à l’odorat. Si elle l’était, on devrait, par le jeu de la sélection naturelle, voir disparaître tous les insectes hétérochromes au profit de ceux qui possèdent ce mode de défense. Ce n’est certes pas le cas ; il n’en reste pas moins difficile d’expliquer l’apparition de tels types au cours des temps géologiques.» In «Les insectes et les plantes» de Christian SOUCHON, «Que sais-je ?», 1974.
Là aussi il y aurait un hic entomologique.
Il est dit que la "feuille morte du chêne" ressemble à une feuille... de hêtre ! Quant au chêne - le chêne pubescent dans ma région - il ne perd pas ses feuilles à l'automne (peut-être quelques unes) mais les garde, mortes, jusqu'au printemps suivant, ce sont les nouvelles pousses de feuille qui font tomber les anciennes !
Feuille morte du chêne
Voir aussi "tous les mimétismes", lien ci-dessous.
"Gazé : nom vulgaire d'une papillon blanc à nervures noires, du groupe des piérides.
Les ailes supérieures sont transparentes chez la femelle.
La chenille du gazé est d'un bleu-gris, rayé de noir et de brun, avec une ligne jaune sur les côtés ; elle vit sur l'aubépine, le prunier, le prunellier, le poirier.
Les jeunes chenilles passent l'hiver en société sous une toile de soie. Le gazé est commun en juillet dans toute la France.
Son corps atteint 2 cm de long" (Encyclopédie Larousse du XXeme siècle - 1930)
De nos jours, non seulement il n'est plus commun
mais rare et protégé !
Gazé sur valériane.
Le Gazé sur un trèfle incarnat,
et sa chrysalide à l'aspect de porcelaine (Luberon-04)
Le Gazé sur une centranthe rouge.
Ses ailes ont été abîmées (Marignane 13)
Observé à nouveau un gazé le 28.04.2007.
J'en ai observé 4 en 2009.
On devine son abdomen à travers la gaze de ses ailes nervurées (contre-jour)
Sur centranthe rouge - Marignane -
Parasitisme : le Braconide "Apenteles glomeratus" subit une diapause hivernale lorsqu'il se développe dans la chenille du Gazé, il évolue sans ce stade de repos dans la chenille de la Piéride du chou (Gallien).
Le gazé n'était pas rare !
"Cette blancheur palpitante, ce sont des milliers de piérides de l'aubépine (Gazé), prises tout à coup d'une folie d'aventure.
De tous les buissons environnants, elles sont accourues au rendez-vous.
"Ces insectes, écrit F. Picard, s'attirent et s'assemblent comme les hirondelles avant le départ." Et il précise : "Les arbres voisins n'en abritent pas un seul." ("Phénomènes sociaux chez les animaux" éditions A. Collin).
On peut secouer leur perchoir : elles s'envolent, tourbillonnent comme un nuage de flocons pris dans le vent, et s'abattent un peu plus loin sur un autre arbre où l'attente continue.
Soudain, alors que rien ne paraît s'être modifié ni dans la lumière ni dans l'air, l'arbre fleuri semble dépouillé par une tempête.
Ses fleurs blanches sont emportées dans le ciel. Elles s'élèvent en une masse dense, en un nuage qui s'éloigne lentement, s'étire interminablement, s'estompe enfin et disparaît. Qui a donné le signe du départ ?..."
(Michel Reboux in "l'insecte ce martien et l'homme - découvertes" Maison Mame 1957)
Le Gazé à nouveau observé en mai 2021,
le premier au jardin depuis 2016 !
Uresiphita gilvata (Fabricius 1794) - Botys de la trainasse - Crambidae
Plantes-hôtes : genêt, ajonc, cytise. Ulex, Spartum
Papillon nocturne migrateur. Parasitée par Meteorus puchricornis (hyménoptère)
Chenille "URESIPHITA GILVATA" en train de manger l'écorce d'un rameau de genêt. 18 mai 2012 - 25 mm - jardin Marignane (13)
Vue aussi en octobre, massif de la Nerthe (13)
On remarque ses poils blancs.
Pour se maintenir au support comme ce jour 18.05 où il faisait du vent, la chenille se tisse quelques fils de soie.
En train de dévorer une fleur de genêt
13.08.2012
Peut se confondre avec "Heterogynus penella"
11.06.24 à 6h Imago (25mm) recto-verso sur vitre de mon appartement.
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